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| | Sevastyan ⊱ i know the shame in your defeat - terminé | |
| Auteur | Message |
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Invité | Sujet: Sevastyan ⊱ i know the shame in your defeat - terminé Sam 24 Aoû - 0:55 | |
| ❝ Sevastyan Isaac Filipovitch ❞
Je suis un être complet
surnom(s) : Il n'a aucun surnom ৩ âge : 28 ans ৩ année : Professeur ৩ maison : autrefois, Durmstrang ৩ date et lieu de naissance : 2 mai à Volgograd, Russie ৩ avatar : Richard Madden
On ne peut pas passer à côté de Sevastyan Filipovitch sans vouloir être lui. Il semblerait que la nature ai gâté le slave d'un charme certain. On voudrait capturer chaque détail de son physique à commencer par sa mâchoire carré toujours couverte d'une barbe brune de plusieurs jours, ses cheveux bruns et bouclés donnent l'impression qu'il vient seulement de se réveiller et s'est contenté de sauter dans ses vêtements de professeurs sans même faire un seul effort pour ressembler à ce qu'il est. Mais ce qui captive surtout l'attention en plus de son corps parfaitement sculpté sont ses yeux bleus qui semblent adoucir son visage carré. Il peut être accoutré d'un simple t-shirt et un jean, Sevastyan respirera toujours l'élégance. Malgré ses nombreuses années passées en Grande Bretagne, les intonations slaves se font toujours entendre dans sa voix. A vrai dire, il refuse de se laisser à l'accent britannique, car, fier de ses origines, il aime montrer qu'il a quelque chose de différent et les femmes qu'il fréquente n'ont pas l'air de se plaindre de cet accent qui l'embellit encore plus. Il possède un certain charisme qui fait que, dès l'instant qu'il ouvre la bouche, le monde semble se taire afin d'écouter ses mots. Sevastyan est un homme très cultivé et intelligent, parler avec lui ne fera qu'améliorer votre culture. Cependant, peu de personnes ont la chance d'être proche du professeur de métamorphose, d'une nature plutôt solitaire, Sevastyan ne se lie pas facilement d'amitié avec les autres. On peut le trouver hautain et arrogant, il l’est un peu, il a tendance à se croire supérieur aux autres. Cependant le professeur Filipovitch a une grande faiblesse : les femmes. Elles l’obsèdent, le hante dans son imagination, il y a tellement de femmes délicieuses dans cette école que ce pauvre slave ne sait jamais où donner de la tête. Il n’a jamais couché avec une élève, ce sont dans ses règles et il ne se voit absolument pas briser cette dernière. Mais il n’est pas rare qu’une belle surveillante soit invitée dans ses appartements. A ce moment-là, tout se fait dans la délicatesse, un billet envoyé, des fleurs et des compliments, cela marche toujours, la femme échappe un gloussement et le rejoint dans ses appartements. C’est un fier calculateur, il semblerait qu’il lit dans les esprits afin de savoir exactement ce qu’il doit dire afin de tourner une situation en sa faveur. Or, Sevastyan voit la vie avec un certain cynisme, un humour qui met mal à l’aise, qui choque. De plus, sa franchise désarçonne, il se fiche d’être blessant ou non, les mots sortent de sa bouche ainsi, comme la vérité qui sort de la bouche d’un enfant.
C'est l'heure de l'histoire !
Le philosophe Kierkegaard a avoué « Dès ma première enfance, une flèche de la douleur s'est plantée dans mon cœur. Tant qu'elle y reste, je suis ironique - si on l'arrache, je meurs ». Lorsque j'étais enfant, j'étais comme tous les autres, je pensais que tout était possible tant qu'on agissait bien. Ma famille était peut-être sorcière, mais aussi croyante. Je croyais en Dieu, le bienfaiteur et Jésus notre sauveur. Je lui parlais souvent avant de me coucher, je lui demandais une seule chose : protège ma famille. Je l'implorais d'une voix tremblante. Mon père était malade, il semblerait qu'aucun guérisseur ne puisse faire quelque chose pour lui sauver la vie, mais moi, je savais que Dieu allait l'aider, il lui donnerait un second souffle, le laisserait vivant. Père n'a jamais été mauvais, il avait ses règles et il les imposait dans notre demeure de Volgograd. Mais être droit n'a jamais été un défaut chez nous, c'était de l'honneur et c'était un homme honorable. J'ai prié des mois, chaque soir. J'attendais un signe du tout puissant, un message, quelque chose qui disait qu'il m'avait entendu. Rien ne venait. Un an passa, les joues de père se creusaient, il n'était plus capable de sortir de son lit. Jusqu'au jour où il perdit son souffle. La flèche de la douleur comme le disait Kierkegaard s'est plantée dans mon cœur. Je n'avais que neuf ans et pourtant, ce fut le jour où je devenais un homme. Je n'ai pas versé une seule larme, car ces dernières avaient bien trop embués mes yeux pendant un an. Je perdais toute foi en Dieu. Tout cela n'était que du vide, j'ai parlé tout ce temps dans le vide, priant chaque soir, pleurant, me montrant faible. Car pleurer était une marque de faiblesse, cela montrait que vous n’étiez encore qu’un petit garçon. Cependant, plus une seule larme n’a coulé depuis ce jour. Lors des funérailles, je suis resté stoïque, fixant un point imaginaire. Je ne parlais pas, j’avais simplement envie d’envoyer paître chaque membre de la famille qui me présentait ses condoléances. L’un d’eux s’était exclamé « Tu vas devoir t’occuper de ta mère mon garçon » et alors, j’ai levé mes yeux bleus sur mon cousin, sifflant entre mes deux « Ne m’appelez plus jamais garçon ».
J'étais devenu un homme, étant fils unique, il m'était primordial de garder la tête haute et aider ma mère qui semblait avoir perdu toute raison. Il lui arrivait de rester là, dans le salon, le regard dans le vide. Seules ses lèvres bougeaient, prononçant des mots inintelligibles, je savais qu'elle parlait à Dieu. Je la regardait d'un air las, me demandant pourquoi elle continuait de s'accrocher à une personne qui n'existait pas. S'il existait, père serait toujours présent. Nous avions eu de nombreuses disputes à ce sujet. A ce moment même, elle me regardait d'un air méprisant, remarquant la noirceur qui s'était introduit dans mon coeur. Elle ne comprenait pas que je voyais le monde tel qu'il était : pourris jusqu'à la moelle. Lorsque j'argumentais à propos de cette à propos de l'homme étant un loup pour l'homme et de cette insociable sociabilité, mère me demandait de déguerpir, car j'étais beaucoup trop jeune pour comprendre ceci. Elle m'interdisait l'accès à la bibliothèque de mon père afin que j'arrête de lire ces nombreux philosophes qui ne semblaient plus avoir aucune fois en l'homme. Je n'en avais aucune. Aucune foi en l'homme, aucune foi en Dieu. La seule chose en laquelle j'avais foi était la magie du monde des sorciers.
« Tu ressembles à ton père » avait-elle dit alors que je m’apprêtais à partir pour l’école de sorcellerie slave, Durmstrang. Je l’ai regardé d’un air renfrogné, détestant ce pic de rappel comme quoi je n’avais plus de père. Je l’ai serrée dans mes bras et suit parti dans cette école qui me changea à tout jamais. Elle me rendait plus sombre. Les rumeurs disaient qu’on y apprenait la magie noire. C’était bel et bien le cas, mais je trouvais bien plus de joie dans la métamorphose. On me disait bon élève. Mais cette soudaine réunification avec Poudlard et Beaubâtons me forçait à aller en Grande Bretagne, laissant ma mère seule. Je l’ai longtemps regretté, refusant de renoncer à mes racines, je faisais tout ce qui était en mon pouvoir afin de rentrer en Russie pour les fêtes. Mais malgré cela, je finissais professeur de métamorphose dans les murs de Poudlard, une partie de moi s’étant attachée à cette vie au château, à ses murs et à la culture britannique.
Après SP, y a une vie quand même
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pseudo/prénom : Charline ৩ âge : 19 ans ৩ tu viens d'où ? du pays des merveilles ৩ comment trouves-tu le forum ? C'est le plusse mieux ! ৩ comment l'as-tu connu ? sur un top site il y a longtemps ৩ le code du règlement : que ce verre d'eau se change en verre de rhum ৩ t'as autre chose à dire 8D ? ça manquais de russes par ici (a) ৩ exemple de rp : - Spoiler:
Voirrey. Ce nom restait sur mes lèvres. Voirrey, Voirrey. Je voudrais le répéter des centaines de fois, il garderait toujours ce délicieux parfum, cette beauté sans égard. Ce prénom roulait délicatement sur ma langue dès l'instant que je le prononçais. Il m'emportait dans des rêveries, laissant naitre un sourire béat sur mes lèvres. Oh qu'elle me manquait. Seulement quelques jours nous séparait et pourtant, je me languissais déjà de sa présence. Il me fallait prendre mon courage à deux mains et patienter sagement ces semaines qui nous séparaient du mariage, de notre vie ensemble. C'était ce que je lui disais dans ces lettres. Nous nous écrivions sans cesse, comme si en quelques jours, nous avions tout à nous dire. Père et mère semblaient aux anges de constater que la fille Menzies me plaise. Je savais que dans ce genre de mariage, cela n'importait pas tellement, mais j'étais si heureux de me retrouver promis à une telle femme. Elle me changeait, j'étais différent avec elle. Elle devait sûrement pratiquer la sorcellerie afin qu'elle ait réussi à me changer en si peu de temps. Mon sens de la conversation n'a jamais été très réputé et voilà qu'à ses côtés, j'étais bavard et souriant. A dire vrai, c'était plus fort que moi, dès l'instant que je posais les yeux sur son visage, mes lèvres s'étendaient d'elles-mêmes en un sourire. Dès l'instant que je croisais son regard, ce dernier me donnait la promesse d'une vie heureuse, d'une chance de tout avoir. Une famille, un foyer, une femme aimante. Parfois, la passion que je ressentais pour cette femme me faisait peur, elle m'effrayait tellement elle était immense. Nous avons pêché, nous étions incapables d'attendre nos noces afin de consommer les plaisirs de la chair. Ce moment hantais mes rêves et mes pensées, j'avais encore l'impression de sentir son souffle contre mon visage, ses mains vagabonder sur mon corps, sa présence contre moi. Je voulais ressentir ça à nouveau, je me languissais de ses lèvres, je voulais les embrasser, serrer son petit corps fragile contre le mien et ne plus jamais la quitter.
Je regardais le corbeau s'envoler en direction du domaine Menzies afin de livrer un énième billet à ma dulcinée. Sa robe noire jurant avec les flocons blancs s'écrasant sur le sol du domaine de père. Cela faisait deux jours qu'il ne cessait de neiger et je regardais ces flocons tomber, les détaillants un par un, rêvant de cette femme aux cheveux blonds qui serait bientôt mienne. Je devrais faire autre chose, j'en avais bien conscience, mais son image flottait sans cesse dans mon esprit, son sourire, son rire, ses lèvres. Je rêvassais, n'écoutant pas un traître mot des conversations. Anna l'avait bien remarqué, alors que nous dînions, elle me sortait de mes rêveries en se penchant vers moi, un sourire malicieux au bout des lèvres "Comment se porte Lady Menzies ?" Bien sûr qu'elle pouvait lire dans mes pensées, elle me connaissait par cœur, mais elle n'a jamais voulu me dire un traître mot de ce que ma dulcinée lui a dit lorsqu'elles étaient toutes deux dans ses appartements. Je détestais lorsqu'elle agissait de la sorte, qu'elle me cachait quelque chose, car je savais qu'elles avaient parlé de moi. Il semblerait qu'elle apprécie sa future belle-sœur pour garder ses secrets, car Annalivia était la femme la plus bavarde du monde, elle adorait se tenir au courant des ragots et en bavasser avec ses amies. Elle s'est déjà fait une joie de parler du mariage à tout le monde.
Je descendais enfin de ma tour où je m'étais réfugié afin d'écrire à ma fiancée et m'apprêtais à rendre visite à Duane dans les écuries lorsqu'une minuscule boule de nerfs me percutait et se dévissa la tête afin de me sourire de toutes ses dents après avoir prononcé mon prénom « Tam ! » je reconnaissais la fille de ma chère « cousine » Mona. Elle m'indiquait justement que sa mère était en bas. « D'accord, fais attention à toi ». J'ébouriffais légèrement ses cheveux avant de descendre rejoindre l'une des rares personnes avec qui j'étais capable de tenir une conversation. Ma cousine et moi étions similaires, c'était sûrement ce qu'il faisait que nous nous entendions si bien. Nous avons tous les deux perdus des êtres chers dans cette guerre et j'étais heureux de trouver quelqu'un avec qui je pouvais en parler librement. Je reconnaissais aussitôt ces cheveux bruns « Mona ! » Je m'approchais d'elle et la serrais dans mes bras « Cela fait tellement longtemps que nous ne nous sommes pas vus en chairs et en os, comment vas-tu ? »
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Dernière édition par Sevastyan I. Filipovitch le Dim 25 Aoû - 2:10, édité 6 fois |
| | | M. Elladora RasvaldiniMessages : 217 Daemon : Une belle Eyra rousse du nom de Lilith | Sujet: Re: Sevastyan ⊱ i know the shame in your defeat - terminé Sam 24 Aoû - 13:27 | |
| Bienvenue jeune professeur nous allons être collègues je crois Et puis-je savoir de quelle matière ? Je me ferai une joie de vous montrer l'étendue de Poudlard, et ses moindres coins sombres... et j'ose espérer que vous saurez en être reconnaissant |
| | | Liam P. DogeMessages : 929 Daemon : Seth, un sheltopusik au regard envoûtant. Prenez garde à ne pas vous y laisser perdre. | Sujet: Re: Sevastyan ⊱ i know the shame in your defeat - terminé Sam 24 Aoû - 14:14 | |
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| | | Invité | Sujet: Re: Sevastyan ⊱ i know the shame in your defeat - terminé Sam 24 Aoû - 14:26 | |
| Je suis reconnaissant d'une telle dévotion envers vos collègues, cela manque cruellement de guide aussi ravissant que vous. Ce serait avec grand plaisir de découvrir les moindres recoins du château en votre compagnie . Pour répondre à votre question, j'enseigne la métamorphose. MOUAHAHA Sarah, débile mais mercii grrr oui je sais Richard |
| | | Cleodora H. MetcalfMessages : 968 Daemon : une femelle Ocicat (chat), indépendante et ambitieuse, prénommée Medusa | Sujet: Re: Sevastyan ⊱ i know the shame in your defeat - terminé Sam 24 Aoû - 15:35 | |
| Blblbl - Spoiler:
trop éloquente, la fille
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| | | Invité | Sujet: Re: Sevastyan ⊱ i know the shame in your defeat - terminé Sam 24 Aoû - 15:40 | |
| Pire que ça :p mais je comprend (a) |
| | | Tracy B. ValentineMessages : 397 Daemon : Tout le monde l'aime, tout le monde la veut normal c'est le meilleur deamon. C'est une girafe prénommée Zarafa, pas vraiment discrète. Avouez elle vous fait rêver haha -ou pas- | Sujet: Re: Sevastyan ⊱ i know the shame in your defeat - terminé Sam 24 Aoû - 22:45 | |
| T'es barbu dis donc ... Tu nous fera une métamorphose en ours ? |
| | | A. Sawyer DawsonMessages : 2836 Daemon : Mens, un sacré de Birmanie au sang chaud. | Sujet: Re: Sevastyan ⊱ i know the shame in your defeat - terminé Sam 24 Aoû - 23:27 | |
| Bienvenu parmi nous professeur.. blah blah blah.. si tu as besoin d'aide, on est là ! |
| | | Ivy K. CollinsMessages : 510 Daemon : Une jolie alouette, toujours de bonne humeur et plein d'énergie. | Sujet: Re: Sevastyan ⊱ i know the shame in your defeat - terminé Sam 24 Aoû - 23:49 | |
| Tu veux ma mort toi, avoue ? Y a pas moyen, je veux de lien de malade REBIENVENUE. |
| | | Invité | Sujet: Re: Sevastyan ⊱ i know the shame in your defeat - terminé Dim 25 Aoû - 0:13 | |
| Tu sais bien que mon but dans la vie c'est de te faire mourrir c'est avec joie que j'accepterais un lien génialissime :p Seulement si t'es sage Tracy |
| | | Invité | Sujet: Re: Sevastyan ⊱ i know the shame in your defeat - terminé Dim 25 Aoû - 2:10 | |
| Voilà ma fiche est terminée ! |
| | | Theodore EriksenMessages : 1510 Daemon : Un Loup nommé Kylian | Sujet: Re: Sevastyan ⊱ i know the shame in your defeat - terminé Dim 25 Aoû - 17:00 | |
| Let's see J'aime bcp ta fiche Charline Je ne vais pas faire le batard comme certain, à te donner une loutre comme daemon, (moi je me farçis mon adorable CHAMEAU à cause de l'autre gros tas) DONC je ne vais pas faire ma sadique car tu mérites mieux qu'un enfantillage Je te valide donc! Je te propose aussi de t'intéresser aux posts de profs de l'université! Bienvenue sur SP Cher Professeur Filipovitch, vous rejoignez officiellement le corps Professoral, félicitations ! Le daemon qui vous est attribué est un léopard, animal somptueux, caractéristique de votre région d'origine, il supporte donc aussi bien le froid que vous grâce à sa fourrure; quelle belle qualité d'adaptation pour vous slaves! Vous pouvez dès maintenant aller créer votre fiche de liens ici et celle de sujets là. Pour faire répertorier vos cours à venir, c'est par ici.
Nous vous incitons enfin également fortement à voter pour les tops-sites et aider à faire connaître le forum ici. Et puis bien sûr, n'oubliez pas de flooder, de rper bien évidemment, et de profiter
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| | | Invité | Sujet: Re: Sevastyan ⊱ i know the shame in your defeat - terminé Dim 25 Aoû - 17:11 | |
| Haha, on sent la rancoeur alors que la chameau rend notre Gav encore plus unique Mouahahaha merci beaucoup, un léopard c'est la classe |
| | | Theodore EriksenMessages : 1510 Daemon : Un Loup nommé Kylian | Sujet: Re: Sevastyan ⊱ i know the shame in your defeat - terminé Dim 25 Aoû - 17:13 | |
| Non mais je l'aime mon rory il est juste un peu encombrant |
| | | A. Billy FosterMessages : 131 Daemon : Absolem, une petite chenille, qui, peut-être, deviendra un papillon un jour... | Sujet: Re: Sevastyan ⊱ i know the shame in your defeat - terminé Dim 25 Aoû - 21:49 | |
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| | | | Sevastyan ⊱ i know the shame in your defeat - terminé | |
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